LA Côte Pacifique en Équateur
« Un voyage en Équateur est l’occasion unique de profiter de toutes les richesses de l’Amérique du Sud en quelques jours. »

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Activités
Profitez des belles plages de la côte Pacifique, en bateau, en surf, kitesurf, windsurf, subwing, snorkeling, plongée, VTT, balades, ou baignade.

La Côte Pacifique équatorienne
De la ville de San Lorenzo où la rivière Mataje se jette dans le Pacifique et délimite la frontière au nord avec la Colombie. À la ville de Huaquillas traversée par la rivière Zarumilla dont ses eaux se déversent dans le Pacifique et délimitent la frontière au sud avec le Pérou.
La région côte Pacifique équatorienne, la “Costa” comme la surnomme ses habitants, vous offrent une belle collection de cartes postales au travers des 670 km de long et des 150 km de large sur laquelle elle s’étend.
Une variété de paysages et d’arômes, teintée de petites îles, d’estuaires, de villages de pêcheurs, de plages sauvages, de mangroves, de café, de vanille, de cacao, de fruits exotiques, de petites chaînes de montagnes côtières, de rivières, de cascades et de réserves naturelles, qui offrent à ses visiteurs un cadre rafraîchissant, relaxant et enchanteur propice à diverses activités, ainsi que de belles rencontres.
Snorkeling
Le snorkeling ou randonnée subaquatique, est une activité récréative qu’il vous sera facile d’effectuer tout le long de la côte Pacifique équatorienne.
Cependant, peu sont les endroits comme l’Isla de la Plata et l’ensemble du parc national Machalilla, où vous pourrez réaliser cette activité, encadrés par des professionnels sérieux.
Ces sites naturels exceptionnels offrent des expériences exaltantes au milieu de jolis récifs coralliens, comme le corail chou-fleur “Pocillopora damicornis”, le “Pocillopora elegans”, le corail “Pavona clavus”, ou le plus rare corail noir “Antipathes panamensis”.
Lors de ces explorations subaquatiques, partez à la recherche des anémones coloniales “Palythoa”, de l’holothurie “Isostichopus fuscus” plus connus comme le concombre de mer, de l'étoile-coussin des Galápagos “Pentaceraster cumingi”, de l’étoile de mer bleue “Phataria unifascialis”, de l’oursin oblong “Echinometra oblonga”, de l’oursin blanc “Tripneustes depressus”, et pourquoi pas de la langouste verte “Panulirus gracilis”.
Scrutez bien le fond de l’eau, vous pourriez apercevoir la raie à taches noires “Taeniura meyeni”, la pastenague batana “Dasyatis brevis”, ou la raie pastenague queue longue “Dasyatis longus” cachées sous le sable.
Dans ces eaux cristallines, pas moins de 143 espèces de poissons ont été répertoriées. Une riche variété de poissons tropicaux, parmi le poisson-papillon à nez noir “Johnrandallia nigrirostris”, le Chirurgien des Galápagos “Prionurus laticlavius”, le poisson-Ange de Cortez “Pomacanthus zonipectus”, le Poisson-ange à barre blanche “Holacanthus passer”, le baliste pierre “Pseudobalistes naufragium”, le Poisson-trompette “Aulostomus chinensis”, la demoiselle géante “Microspathodon dorsalis”, des poissons-soldats “Holocentridae”, des “Labridae”, des Balistidae, des Carangidae, des Haemulidae, et des Lutjanidae.
Les tortues marines sont également présentes et en nombre. Apprenez à distinguer la tortue verte “Chelonia mydas”, qui est la plus commune, de la tortue olivâtre “Lepidochelys olivacea”, de la tortue imbriquée “Eretmochelys imbricata”, et de la tortue luth “Dermochelys coriaceae”.
Près de la côte, il arrive parfois d’avoir des visites surprenantes comme celle du dauphin tacheté pantropical “Stenella attenuata”, qui se rapproche de la plage tout comme l’otarie des Galapagos “Zalophus californianus wollebaecki” que l’on voit régulièrement près de Puerto Lopez.
Dans ces endroits de nature exceptionnels de belles rencontres et de belles émotions vous attendent dépendant de la saison. N’hésitez pas à consulter notre équipe qui vous aidera à planifier au mieux votre voyage.
Plongée sous-marine dans le parc national Machalilla
Pour les amants de la plongée sous-marine, en quête d’aventures et de découvertes émotionnantes, il existe un endroit singulier situé proche des côtes Pacifique équatoriennes que nous vous invitons à découvrir absolument.
Cet endroit-là, il s’agit du parc national Machalilla avec notamment l’iconique île continentale de la Plata.
Le parc compte au total, une vingtaine de sites de plongée fascinants, où les plongeurs débutants comme les plus expérimentés auront l’occasion de s’immerger au milieu d’une faune et d'une flore marine incroyables.
Entre 10 et 20 m de profondeur et plus, pour les plus aguerris, vous disposez d’un choix varié de plongées récréatives.
Les différents sites du parc national sont formés d’îles continentales et d’îlots. Ils ont la particularité d’être traversés, tout comme les îles volcaniques des Galapagos, par cinq différents courants marins aux températures et degrés de salinité différents.
La convergence de ces courants, au fil du temps, a créé des conditions naturelles propices au développement de diverses espèces. Cette aire protégée suffisamment éloignée du continent présente ainsi une variété de récifs coralliens intéressante et bien préservée.
Entre les mois de juin et d'octobre, un phénomène étrange et rare se reproduit chaque année, relevant encore plus l’intérêt de la visiter.
En effet, remontant de l’Antarctique et longeant la côte ouest de l’Amérique du Sud, le courant froid de Humboldt qui arrive vers la mi-juin approximativement, amène du fond de l’océan beaucoup de nutriments et avec lui de surprenantes créatures l’accompagnent.
L’espèce la plus emblématique qui éclabousse de joie les visiteurs avec ces sauts impressionnants est la baleine à bosse “Megaptera novaeangliae” qui parcourt chaque année de 5 000 à 8 000 km pour venir là se reproduire ou mettre bas, fuyant l’hiver rigoureux de l’Antarctique.
Elle n’est pas la seule espèce pélagique à rejoindre ces eaux calmes du Pacifique.
Une douzaine d’autres cétacés viennent là aussi se nourrir, comme le Dauphin commun à bec court “Delphinus delphis”, le Dauphin tacheté pantropical “Stenella attenuata”, le Grand dauphin “Tursiops truncatus”, le globicéphale tropical “Globicephala macrorhynchus”, ou encore le requin baleine “Rhincodon typus”, sans oublier le plus imposant de tous le grand cachalot “Physeter macrocephalus” dont le mâle peut atteindre les 20 m de long, pour un poids d’environ 40 tonnes.
À cette période donc et sous ces eaux cristallines, se déroule alors un spectacle exceptionnel que seuls les plongeurs peuvent apprécier.
Le ballet majestueux de la plus grande concentration au monde de raies Manta océanique “Mobula birostris”, vous attend.
Dans les stations de nettoyage vous vivrez une expérience exaltante au milieu de ces élégantes géantes qui viennent là pacifiquement se faire toiletter par des labres et des poissons papillons entre autres espèces.
Encadrés par des guides Dive Master expérimentés et sérieux vous irez sur ces sites naturels exceptionnels de récifs coralliens. Vous pourrez observer le corail chou-fleur “Pocillopora damicornis”, le “Pocillopora elegans”, le corail “Pavona clavus”, le Muricea, le Pavona gigantea ou le plus rare corail noir “Antipathes panamensis”.
Partez ensuite, à la recherche de l’hippocampe du Pacifique “Hippocampus ingens”, des anémones coloniales “Palythoa”, ou de l’anémone de mer “Bunodosoma grande”, de l’holothurie “Isostichopus fuscus” plus connus comme le concombre de mer, de l’étoile de mer bleue “Phataria unifascialis”, l’étoile de mer pyramide “Pharia pyramidata”, l'étoile-coussin des Galápagos “Pentaceraster cumingi”, de l’oursin oblong “Echinometra oblonga”, de l’oursin blanc “Tripneustes depressus”.
Cherchez les poulpes, et les murènes, comme la rare “Muraena clepsydra”, la murène verte du Pacifique-Est “Gymnothorax castaneus”, la murène maculée “Gymnothorax dovii”, la murène bijou “Muraena lentiginosa”, et la langouste verte “Panulirus gracilis”.
Au fond de l’eau, vous pourriez apercevoir la raie à taches noires “Taeniura meyeni”, la pastenague batana “Dasyatis brevis”, ou la raie pastenague queue longue “Dasyatis longus” cachées sous le sable ainsi que les belles anguilles jardinières “Myrichthys xysturus”. Il ne vous sera pas impossible avec un peu de chance de croiser la route de la belle raie Léopard du Pacifique “Aetobatus laticeps”.
Pas moins de 143 espèces différentes de poissons répertoriées vous attendent dans ces eaux cristallines du Pacifique.
Une riche variété de poissons tropicaux, parmi le poisson-papillon à nez noir “Johnrandallia nigrirostris”, le Chirurgien des Galápagos “Prionurus laticlavius”, le chirurgien à nageoires jaunes “Acanthurus xanthopterus”, la Bécasse à carreaux “Oxycirrhites typusle”, le poisson-Ange de Cortez “Pomacanthus zonipectus”, la girelle arc-en-ciel de Cortez “Thalassoma lucasanum”, le Poisson-ange à barre blanche “Holacanthus passer”, le baliste pierre “Pseudobalistes naufragium”, le pourceau mexicain “Bodianus diplotaenia”, le poisson-scorpion tacheté du Pacifique “Scorpaena mystes”, le Poisson-flûte “Fistularia commersonii”, le Poisson-trompette “Aulostomus chinensis”, la demoiselle géante “Microspathodon dorsalis”, le poisson ballon pintade “Arothron meleagris”, entre autres espèces de poissons-soldats “Holocentridae”, de “Labridae”, de Balistidae, de Carangidae, de Haemulidae, et de Lutjanidae.
Deux espèces impressionnantes sont tout de même à signaler même si leur observation reste assez rare et occasionnelles il s’agit de celle du poisson-lune “Mola mola”, le poisson osseux le plus lourd des océans et celle du requin baleine “Rhincodon typus”.
Les tortues marines sont également présentes et en nombre.
Apprenez à distinguer la tortue verte “Chelonia mydas”, qui est la plus commune, de la tortue olivâtre “Lepidochelys olivacea”, de la tortue imbriquée “Eretmochelys imbricata”, et de la tortue luth “Dermochelys coriaceae” qui rôdent dans ces eaux et viennent se pondre sur les côtes comme la tortue verte.
Selon les sites proches de la côte, il arrive parfois d’avoir des visites surprenantes comme celle du dauphin tacheté pantropical “Stenella attenuata”, qui se rapproche de la plage tout comme l’otarie à crinière “Otaria byronia” que l’on voit régulièrement près de Puerto Lopez.
De belles expériences vous attendent dans ces endroits de nature exceptionnels. De belles rencontres et de belles émotions qui vous feront vibrer et vous laisseront de beaux souvenirs. N’hésitez pas à consulter notre équipe technique qui vous aidera à planifier au mieux votre voyage.
Découverte
Parcourir la Côte Pacifique équatorienne, c’est prendre un bol d’air frais et découvrir une riche variété de paysages, d’arômes et de saveurs exotiques.

Voir les baleines à bosse
L’excursion à l’Isla de la Plata
Bien qu’il est possible de visiter l’île tout au long de l’année, un phénomène rare qui se reproduit chaque année à la saison sèche relève encore plus l’intérêt de la visiter.
C’est en effet vers le mois de juin approximativement, que le courant froid de Humboldt qui remonte depuis l’Antarctique et longe la côte ouest de l’Amérique du Sud, arrive sur les côtes équatoriennes et les îles Galapagos.
Ce courant marin froid, amène des profondeurs de l’océan beaucoup de nutriments, et avec lui, d’étranges créatures pélagiques l’accompagnent.
La plus remarquable de toutes, ornant de son chant mélodieux les océans, est l’impressionnante baleine à bosse “Megaptera novaeangliae”.
Après un long voyage migratoire d’entre 5 000 km à 7 000 km, pour fuir l’hiver rigoureux de l’Antarctique, ce géant des mers qui peut atteindre les 15 m de long et peser 30 tonnes, arrive sur les côtes équatoriennes.
Il y restera jusqu’au mois d’octobre environ profitant des eaux chaudes du Pacifique pour se reproduire, et mettre bas, attendant que les courants marins s’inversent et l’aident à rejoindre à nouveau l’Antarctique où il pourra à nouveau s’alimenter de plancton, de krill et de petits poissons comme le hareng, l’aiglefin et le goberge, qui abondent dans cette zone du globe et dont il raffole, participant ainsi à l’équilibre vital des océans.
Voir ces géants sauter hors de l’eau, et éclabousser de joie l’océan est un spectacle émotionnant à ne pas manquer.
À cette période de l’année, l’observation des baleines à bosse s’effectuera au cours de la navigation vers l’Isla de la Plata. Ces eaux riches en plancton sont également fréquentées par une douzaine d’autres cétacés qui viennent là se nourrir.
Ouvrez donc bien les yeux lors de la navigation, car vous pourriez apercevoir le Dauphin commun à bec court “Delphinus delphis”, le Dauphin tacheté pantropical “Stenella attenuata”, le Grand dauphin “Tursiops truncatus”, le globicéphale tropical “Globicephala macrorhynchus”, et le plus imposant de tous le grand cachalot “Physeter macrocephalus” dont le mâle peut atteindre les 20 m de long, pour un poids d’environ 40 tonnes.
Vous débarquerez ensuite à la baie de Drake, du nom du célèbre pirate. Vous aurez un débarquement mouillé en sautant du bateau pour rejoindre la plage et la maison des gardiens du parc.
Sur la plage le Moqueur à longue queue “Mimus longicaudatus platensis”, et le Chipiu à col noir “Poospiza hispaniolensis”, vous accueilleront virevoltant autour, parmi quelques autres limicoles bordant eux la plage comme le Phalarope de Wilson “Phalaropus tricolor”, le tourne pierre à collier “Arenaria interpres”, la mouette de Sabine “Xema sabini”, ou encore le pélican Thage “Pelecanus thagus”.
Vous emprunterez alors un premier sentier de 800 m, qui vous conduira sur les hauteurs de l’île, vous offrant une belle vue sur les environs. À partir de là, cinq sentiers de 1,6 km à 5,8 km qui se combinent entre eux, s’offriront alors à vous. Vous pourrez selon votre état de forme du moment et en accord avec votre guide naturaliste et le groupe, faire votre choix de circuit.
Des sentiers au travers desquels vous pourrez découvrir une riche diversité d’oiseaux composés de 71 espèces dont certaines rares que l’on trouve également et seulement sur le précieux archipel des Galapagos.
Frégate Superbe “Fregata magnificens”, fous à pieds bleus “Sula nebouxii”, Fous à pieds rouge “Sula sula”, fou de Grant “Sula granti”,
Fou masqué “Sula dactylatra”, Phaéton à bec rouge “Phaethon aethereus”, Phalarope à bec large “Phalaropus fulicarius”, albatros des Galapagos “Phoebastria irrorata”, des espèces qui se laissent observer facilement en maintenant bien entendu une discrétion et une distance respectueuse.
L’île de la Plata s’étend sur 14,2 km2 et son point culminant ne dépasse pas les 167 m. On y trouve une végétation composée de d’arbres, d’arbustes, de buissons et de cactus.
Sur votre chemin, vous rencontrerez, entre autres espèces, le Palo Santo “Bursera graveolens”, le bois couleuvre “Capparis flexuosa”, l’algarrobo “Prosopis juliflora”, le “Croton rivinifolius”, le cactus “Monvillea difusa”, le mancenillier “Hyppomane mancinella”, et le muyuyo “Cordia lutea” qui une fois fleurit et paré de ses feuilles jaunes et parfumées, attirent le joli colibri à queue courte “Myrmia micrura” qui se régale de son nectar.
Seul le sentier Machete situé au sud de l’île, reste temporairement fermé pour préserver la tranquillité des albatros des Galapagos “Phoebastria irrorata”. Ce géant ailé que l’on ne trouve que sur l’île d’Española aux Galapagos et sur l’île de la Plata. Vous pourrez toutefois avec un peu de chance observer ce géant en plein vol, passer au dessus de vos têtes.
Sur la plage une petite colonie d’otarie des Galapagos “Zalophus californianus wollebaecki”, vient généralement se prélasser au soleil, profitant de la tranquillité des lieux.
Après votre randonnée, un snorkeling exaltant et rafraîchissant vous attend, au milieu de poissons de corail multicolores, de raies et de tortues marines. Dans ces eaux cristallines vous croiserez vraisemblablement la tortue verte “Chelonia mydas”, qui est la plus commune, mais aussi la tortue olivâtre “Lepidochelys olivacea”, la tortue imbriquée “Eretmochelys imbricata”, et la tortue luth “Dermochelys coriaceae”.
Le temps sera venu de retourner vers Puerto Lopez, et de profiter des dernières bouffées d’air frais du grand large, le cœur rempli de beaux souvenirs.
Logements
La côte Pacifique équatorienne, vous offre un choix varié de logements pour passer un agréable séjour seul, en couple en famille ou entre amis.

Animaux de la Côte Pacifique
La côte Pacifique avec ces paysages et reliefs si différents abrite une riche faune qui est à découvrir absolument !

La région de la côte Pacifique équatorienne (“la Costa”), qui s’étend sur 670 km de long et 150 km de large, présente des variations de climat et de reliefs qui, au fil du temps, ont dressé un décor propice au développement d’une riche variété de flore et de faune.
Traversée par la ligne imaginaire de l’équateur, elle abrite des lieux naturels incroyables, façonnés par l’action des vents et courants marins sur les divers reliefs. Des endroits fréquentés par des animaux, migrateurs ou non, qui ont élu domicile et se sont parfaitement adaptés aux conditions climatiques parfois rudes.
Les belles plages sauvages, les précieuses mangroves, les estuaires et bassins sédimentaires, les bosquets secs et la riche forêt humide tropicale sont autant de sites à visiter. Des écosystèmes embellis par la présence d’une surprenante variété d’oiseaux, de poissons, de crustacés, de mammifères, d’amphibiens, de reptiles et d’insectes.
La baleine à bosse “Megaptera novaeangliae”
La baleine à bosse est l’un des mammifères les plus grands et surprenants de notre planète. Elle serait apparue sur notre planète, il y a environ de cela entre 5 et 12 millions d'années. Son chant mélodieux orne à nouveau quasiment l’ensemble de l’océan mondial, à l’exception de la mer méditerranée, la mer rouge et le golfe persique.
Longtemps menacés par la chasse intensive menée par l’homme dans la plupart des océans, sa population à aujourd’hui retrouvé un certain équilibre qui lui permet de ne plus faire partie de la liste des espèces menacées, mais qui reste, à ce jour, hélas encore vulnérable.
Il existe deux groupes de baleines à bosse, celle de l’hémisphère nord et celle du sud.
L’été venu sur chaque pôle, elles rejoignent donc les deux hémisphères aux parallèles 71 nord et 60 sud dans l’Antarctique pour s’alimenter et faire le plein de réserves, avant d’entamer leurs longues migrations au cours desquelles elles jeûneront durant de longs mois.
Celles de l’hémisphère nord s’alimentent essentiellement de petits poissons comme les anchois, la sardine, le hareng, le capelan, l’aiglefin, le lançon et le goberge qu’elles capturent à l’aide de leur tactique ingénieuse du filet à bulles.
Celles de l’hémisphère sud par contre, à part des petits poissons, elles ont une diète essentiellement composée de krill (petits crustacés ressemblant à des petites crevettes) qui abonde dans l’Antarctique à cette saison et dont elles raffolent.
C’est tout de même sur l’Antarctique où la plus grosse concentration de ce cétacé a été répertorié avec plus de 50 000 individus. Une fois le plein de réserve effectué et avant la venue de l’hiver rigoureux dans ces zones extrêmes, les baleines à bosse aidées par les courants marins entreprennent alors leur long voyage migratoire de 5 000 à 8 000 km pour aller se reproduire et mettre bas dans les eaux chaudes du globe.
Se déplaçant à une vitesse moyenne de 8 km/h, elle peut toutefois atteindre en pointe les 20 km/h. Cette vitesse lente fait qu’un grand nombre de parasites se colle à elle. Parasites dont elle se débarrasse en grande partie lors de ces sauts puissants et spectaculaires hors de l’eau ou elle est capable de sortir totalement son corps de l’eau.
Au rythme des saisons elles réaliseront ces migrations infatigablement jouant ainsi un rôle fondamental dans l’équilibre des océans.
Son nom se doit à la bosse de graisse située devant sa nageoire dorsale. Elle possède deux grandes nageoires pectorales qui mesurent environ un tiers de son corps.
Le mâle est plus petit que la femelle et leur taille adulte tourne en moyenne autour des 12 m de long pour le mâle et de 15 m pour la femelle pour un poids variant entre 20 et 30 tonnes, bien que des spécimens ont atteint les 19 m et les 40 tonnes.
Sa grande taille lui évite ainsi d’avoir un grand nombre de prédateurs qui se résument aux orques et au grand requin blanc qui s’attaquent aux baleineaux. Mais son plus grand prédateur n’est autre que l’humain avec ses activités de chasse et autres qui sont nuisibles à l’espèce.
Elles se distinguent les unes des autres de par leur nageoire caudale qui sur la face ventrale possède des motifs individuels. Comme mammifère marin, la baleine à bosse ne possède pas de branchies et doit remonter régulièrement à la surface pour respirer. Cela dit, lorsqu’elle plonge, elle peut atteindre une profondeur de 200 m et arrive à rester en apnée jusqu’à 30 minutes.
Leur dos est gris foncé à bleu noir, parfois tacheté de cicatrices blanches ou grises fruits des attaques d’orques ou de requins ou de chocs avec les navires marchands. Leur ventre lui est généralement marbré ou blanc. Leur tête est couverte de follicules pileux.
La baleine à bosse peut vivre jusqu’à 60 ans et atteint sa maturité sexuelle dès l’âge de 5 ans se reproduisant environ chaque deux ou trois ans. Sa gestation dure 11 mois approximativement et le baleineau à sa naissance mesure entre 4 et 5 m pour un poids d’environ 700 kg. La mère allaitera son petit durant les six premiers mois, mais à partir de là le baleineau devra lui-même trouver son complément d’alimentation.
C’est à partir d’un an que la mère cessera d’allaiter le baleineau qui ayant doublé de taille poursuivra alors son chemin.
Elles vivent généralement seules ou en groupe allant jusqu’à sept individus se regroupant à la saison des amours, guidées par le chant mélodieux des mâles et effectuant des sauts impressionnants.
Cependant dans les zones polaires ou elles s’alimentent, elles peuvent former parfois des groupes jusqu’à 200 individus.
Avant votre voyage, voici quelques informations pour faire vos préparatifs et éviter les mauvaises surprises ! Consultez tous nos conseils pratiques.
Dois-je me faire vacciner de la fièvre jaune ?
Si vous lisez les conseils « officiels » du Ministère des Affaires Etrangères, la vaccination contre la fièvre jaune est recommandée. Toutefois, les zones de l’Amazonie où nous envoyons nos clients ne sont actuellement pas concernées.
Hormis les vaccins recommandés en Europe, vous n’avez donc besoin de rien de particulier.
N’étant pas habilités à donner des conseils médicaux, cette recommandation est donc strictement personnelle mais se base sur l’avis des médecins équatoriens ou étrangers sur place.
Pour votre information, le vaccin contre la fièvre jaune est désormais valable à vie, depuis juin 2017, et ce, même si vous avez été vaccinés avant cette date.
Dois-je prendre un traitement antipaludéen ?
Si vous lisez les conseils « officiels » du Ministère des Affaires Etrangères, le traitement antipaludéen est recommandé.
Toutefois, les zones de l’Amazonie où nous envoyons nos clients ne sont actuellement pas concernées. Les risques étant quasi-néants et les effets secondaires d'un traitement antipaludéen pouvant être très gênants, la balance bénéfice-risque n’est pas favorable.
N’étant pas habilités à donner des conseils médicaux, cette recommandation est donc strictement personnelle mais se base sur l’avis des médecins équatoriens ou étrangers sur place.
Que dois-je mettre dans ma valise ?
Si vous voyagez dans toutes les régions de l’Equateur, il vous faudra prévoir une garde-robe très étoffée, car vous traverserez les quatre saisons, parfois dans une même journée.
Une fois votre voyage confirmé, nous vous ferons parvenir une liste détaillée de tout ce que vous devez apporter.
Comment bien profiter des Galapágos ?
Aux Galapagos, nous incitons vivement nos clients à faire le choix de la croisière, car elle-seule vous permet d’accéder aux îles inhabitées les plus intéressantes et les plus riches en faune et en flore.
Nous vous suggérons des croisières de 4 à 7 nuits sur de petits bateaux de 12 à 16 places maximum, dont nous sommes certains du bon rapport qualité-prix et de l’intérêt de l’itinéraire proposé. Le snorkeling est possible tous les jours lors d’une croisière.
Il faut savoir qu’un séjour en hôtel peut engendrer plusieurs désagréments :
- Tout d’abord, cela ne revient pas forcément moins cher qu’une croisière, surtout si vous souhaiter faire des excursions à la journée intéressantes (celles-ci sont très chères)
- Les sites en libre-accès sur les îles habitées (Santa Cruz, Isabela et San Cristobal) manquent singulièrement d’intérêt par rapport au reste de l’archipel
- Le rapport qualité-prix de l’hôtellerie laisse souvent à désirer.
- En bref, beaucoup de gens rentrent déçus d’un séjour en hôtel, au vu de l’investissement et du décalage entre l’image que l’on peut s’en faire et la réalité. Nous sommes à votre disposition pour en discuter avec vous bien entendu.
Un séjour en hôtel doit toutefois être envisagé en cas de mal de mer sévère ou si vous voyagez avec des enfants en bas âge (moins de 10 ans).
Comment puis-je être certain du sérieux de votre agence ?
Si vous désirez être rassurés quant à la qualité de nos prestations et au sérieux de notre suivi, nous vous invitons à lire les témoignages de nos clients (voir la page) et les articles parus dans les guides et dans la presse (voir la page).
Vous pouvez également parcourir les nombreux forums de voyage à votre disposition et les témoignages certifiés parus sur le site d’EVANEOS (agence de Philippe).
Combien de régions peut on visiter en 2 ou 3 semaines ?
Si vous disposez de 2 semaines, nous vous conseillons de vous limiter aux Andes et à l’une des autres régions (Amazonie, côte pacifique ou Galapagos). 2 semaines complètes exclusivement dans les Andes peuvent être également une bonne option.
En 3 semaines, vous pouvez visiter les Andes, l’Amazonie et la côte pacifique OU les Galapagos.
Un mois complet peut vous permettre de découvrir les 4 régions.
Quel budget prévoir ?
Nos séjours étant exclusivement sur-mesure et individuels, il est difficile de répondre précisément à cette question pour l’Equateur. Le prix dépend de la catégorie d’hébergement, du nombre de participants, du type d’accompagnement (guide ou chauffeur), des repas et des activités inclus.
En revanche, aux Galapagos, si vous souhaitez découvrir l’archipel dans de bonnes conditions, il faut consacrer un minimum de 1600 USD par personne pour 5 jours/4 nuits, vols intérieurs aller-retour compris, que ce soit en hôtel ou en croisière.
En-deçà de ce budget, cela signifierait que ne seraient pas prévues des excursions intéressantes, celles qui vous permettent d’observer la faune marine et terrestre dans son milieu naturel.
Quelles sont les activités possibles ?
Fidèle à l’esprit de notre agence, nous aimons proposer des activités inédites : la visite des lieux insolites et secrets de Quito, les mines de glace du volcan Chimborazo, des cours de cuisine, une étape dans une plantation de cacao ou de café, etc.
De nombreuses autres activités culturelles et sportives sont possibles.
Nous vous invitons à toutes venir les découvrir sur la page dédiée de notre site Internet (voir la page).